L’augmentation de l’utilisation des caméras de vidéosurveillance sur les propriétés domestiques au cours des dernières années a conduit à des procès avec des personnes se plaignant des caméras de vidéosurveillance de leurs voisins ou de la sonnette vidéo de plus en plus courante. Un exemple est le cas d’un homme qui a installé une sonnette vidéo pour surveiller l’entrée de sa voiture mais a été amené devant le tribunal par son voisin, qui se sentait sous sa surveillance constante. Une importante demande de dommages-intérêts a été déposée car le juge a jugé que les lois sur la protection des données avaient été enfreintes.
Une règle simplement évidente
La règle simple a toujours été : ne capturez des images qu’à l’intérieur des limites de votre propriété, allez au-delà et vous serez soumis aux lois sur la protection des données, ainsi qu’à des réclamations et des procédures judiciaires potentiellement coûteuses. La loi à cet égard ne fait aucune différence entre l’utilisation de la vidéosurveillance par les entreprises, les organismes du secteur public ou les particuliers. Et à juste titre; Les images CCTV peuvent contenir des informations personnellement identifiables (PII) et donc, pour notre bien à tous, cela doit être protégé quelle que soit la personne qui collecte les données.
Vous familiariser avec votre équipement
Le Ministère de l’intérieur Algérien a des conseils très utiles et clairs pour l’utilisation de caméras de vidéosurveillance et d’appareils d’enregistrement audio sur les propriétés domestiques. Pour éviter les mauvaises surprises, il est recommandé de vous familiariser avec ceci avant d’installer ce type d’appareils dans votre maison : Systèmes de vidéosurveillance domestiques.
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